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Comment est perçu l’électrique par les conducteurs ?

L’essor des véhicules électriques (VE) est l’un des changements les plus marquants du secteur automobile au cours de la dernière décennie. Pourtant, leur perception varie encore largement selon les conducteurs. En effet, certains y voient une avancée technologique incontournable, tandis que d’autres restent sceptiques face aux contraintes qui y sont associées. C’est pourquoi, nous vous parlons aujourd’hui de la perception de l’électrique par les automobilistes.

Comment est perçu l’électrique ? Enthousiasme pour l’innovation et la transition écologique

Pour commencer, de nombreux conducteurs considèrent les véhicules électriques comme une avancée technologique majeure. En plus d’offrir une conduite plus silencieuse et fluide, ils réduisent significativement les émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, les automobilistes sensibles aux enjeux environnementaux apprécient le fait de rouler sans émissions directes et voient dans l’électrique une solution pour un avenir plus durable.
D’ailleurs, les entreprises automobiles et les gouvernements multiplient les incitations pour encourager cette transition. Notamment, avec les primes à l’achat, subventions, bonus écologiques, et restrictions progressives sur les moteurs thermiques. En définitive, ces mesures participent à une perception plus positive des véhicules électriques et facilitent leur adoption par un nombre croissant d’automobilistes.

Comment est perçu l’électrique ? l’autonomie, un frein encore présent

Néanmoins, malgré les progrès des batteries, l’autonomie reste une préoccupation majeure pour de nombreux conducteurs. Sur ce sujet, il faut savoir que les modèles récents peuvent offrir entre 300 et 600 km d’autonomie selon les conditions d’utilisation. Toutefois, cette distance peut être réduite par de nombreux facteurs. Par exemple, la température, le style de conduite et l’utilisation des équipements énergivores (chauffage, climatisation, etc.).
D’ailleurs, les conducteurs habitués aux véhicules thermiques ont l’habitude de parcourir de longues distances sans se soucier de la recharge. C’est pourquoi, ils expriment des réticences à l’idée de devoir planifier leurs trajets en fonction des bornes de recharge disponibles. Cette “anxiété de l’autonomie” est d’autant plus prégnante que le réseau de bornes de recharge n’est pas encore homogènement réparti sur le territoire.

Comment est perçu l’électrique ? Les infrastructures de recharge, un enjeu clé

Le développement du réseau de recharge est une question cruciale pour l’adoption des véhicules électriques. En ville, les bornes publiques commencent à se multiplier, mais leur disponibilité et leur accessibilité restent inégales. D’ailleurs, à la campagne ou sur autoroute, trouver une borne peut encore s’avérer compliqué. Du coup, cela renforce les appréhensions des automobilistes.
Bien sûr, la recharge à domicile est une solution plébiscitée par ceux qui en ont la possibilité. Cependant, elle reste inadaptée pour les personnes vivant en appartement ou ne disposant pas d’un parking privatif. De plus, les temps de recharge peuvent varier de 30 minutes (sur une borne rapide) à plusieurs heures (sur une prise domestique). En d’autres termes, cela oblige les conducteurs à adapter leur routine.

Un coût d’achat encore élevé

L’un des obstacles principaux à l‘achat d’un véhicule électrique est son prix initial. En effet, même si les aides gouvernementales permettent de réduire cet investissement, les VE restent généralement plus chers que leurs homologues thermiques. C’est pourquoi, il s’agit d’un vrai frein pour les automobilistes. Notamment, ceux qui disposent d’un budget limité ou qui cherchent un véhicule d’entrée de gamme.
Cependant, Il faut noter que les coûts d’entretien et d’utilisation sont nettement inférieurs. Cela s’explique par l’absence de moteur à combustion interne qui réduit le nombre de pièces d’usure (pas d’huile moteur, de courroie de distribution, de filtres à changer, etc.), et l’électricité coûte généralement moins cher que l’essence ou le diesel. En fin de compte, pour les conducteurs ayant un usage quotidien intensif, les économies à long terme peuvent compenser le surcoût initial.

Comment est perçu l’électrique ? Une expérience de conduite appréciée

Conduire un VE est souvent apprécié par ses conducteurs. Sur ce sujet, les véhicules électriques offrent une accélération immédiate grâce à leur couple instantané. Mais aussi, une conduite fluide et silencieuse, ainsi qu’un confort accru par rapport aux modèles thermiques. L’absence de vibrations et de bruit moteur est perçue comme un atout majeur, notamment pour les trajets urbains et les longs parcours.

Comment est perçu l'électrique ?

Comment est perçu l’électrique ? Une adoption progressive mais inéluctable

Malgré les réticences, la transition vers l’électrique semble inéluctable. D’ailleurs, de nombreux pays prévoient d’interdire la vente de véhicules thermiques neufs d’ici 2035. Donc, cela encourage les constructeurs à accélérer leur transition vers l’électromobilité.
Les automobilistes restent partagés entre l’attrait pour cette technologie et les contraintes qui l’accompagnent. Avec l’amélioration des batteries, l’expansion des infrastructures de recharge et la baisse des coûts, l’électrique devrait progressivement s’imposer comme la norme. Cependant, il est essentiel de répondre aux attentes des conducteurs en termes de praticité, d’autonomie et de prix pour faciliter cette transition.

Et les pièces d’occasion ?

Avec la popularisation des véhicules électriques (VE), le marché des pièces d’occasion est en pleine mutation. Si les voitures thermiques ont bénéficié d’un vaste réseau de pièces réutilisables depuis des décennies, les VE posent de nouveaux défis et opportunités dans ce secteur.

Moins de pièces d’usure, mais des composants stratégiques

Contrairement aux véhicules thermiques, les VE possèdent moins de pièces d’usure. Il n’y a pas de moteur à combustion, donc pas de vidange, pas de courroie de distribution, ni de filtre à huile. Cependant, certains composants clés peuvent nécessiter un remplacement et présentent un intérêt pour le marché de l’occasion :
Les batteries : Élément le plus coûteux d’un VE, elles peuvent être reconditionnées ou revendues pour une seconde vie (stockage d’énergie, autres applications industrielles).
Les moteurs électriques : Plus durables que les moteurs thermiques, mais ils peuvent être recyclés ou remplacés.

Les chargeurs et convertisseurs : Essentiels pour le fonctionnement des VE, ces composants peuvent être récupérés et réutilisés.
Les systèmes électroniques et capteurs : De plus en plus présents, ces éléments jouent un rôle crucial dans le fonctionnement des véhicules modernes.

Un marché de l’occasion encore en construction

Le secteur des pièces d’occasion pour VE est encore à ses débuts. Plusieurs facteurs expliquent cette situation :
La relative nouveauté des VE, qui fait que peu de modèles sont encore en fin de vie.
Le manque de standardisation des pièces, chaque constructeur ayant ses propres spécifications.
Les difficultés de recyclage et de réutilisation de certaines pièces, notamment les batteries.
Cependant, avec l’augmentation du nombre de VE sur les routes et l’obsolescence progressive de certains modèles, le marché de la récupération et de la revente de pièces va se développer rapidement.

Les avantages des pièces d’occasion pour les conducteurs de VE

L’utilisation de pièces d’occasion présente plusieurs bénéfices :
– Coût réduit : Certaines pièces peuvent être revendues à des prix bien inférieurs aux pièces neuves, permettant aux propriétaires de VE de réaliser des économies.
– Impact écologique : Le recyclage des composants évite une production excessive de nouvelles pièces et limite les déchets.
– Disponibilité : Certaines pièces peuvent être difficiles à trouver en neuf, notamment pour les modèles plus anciens ou moins courants.

Les défis à surmonter

Malgré ses avantages, le marché des pièces d’occasion pour VE rencontre plusieurs difficultés :
– Diagnostic et compatibilité : Les pièces électroniques et les batteries doivent être testées et compatibles avec le véhicule concerné.
– Réglementations : Les normes en matière de sécurité et de recyclage peuvent complexifier la revente de certains composants.
– Manque d’offre : Le marché étant encore récent, il existe peu d’acteurs spécialisés dans la vente de pièces d’occasion pour VE.
En conclusion, la perception des véhicules électriques évolue positivement, mais certains obstacles doivent encore être levés pour convaincre les plus sceptiques. Le futur de l’automobile semble bel et bien électrique, à condition que les innovations technologiques et les politiques publiques accompagnent efficacement cette transformation.

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